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STILLLEBEN  BLUMEN  STÄDTE  PERSONEN  SKIZZEN   PORTRAIT  

Textfeld: Je vis et travaille depuis plus de 20 ans à Beinheim et au cours de ces années, 
ce sympathique et paisible petit village alsacien est devenu ma nouvelle patrie.
Sur cette grande toile acrylique de 100 x150 cm, débutée en 2009, 
lors de la manifestation Open Air « Rendez vous des artistes » à Roppenheim, 
j’ai essayé de représenter tout ce que j’associais à la cité de Beinheim.
Au centre de la toile, on peut reconnaître le pont sur le Rhin. Détruit pendant la guerre, reconstruit ensuite, il mène de nouveau à l’Allemagne, mon ancienne patrie.
 Au-dessus, le complexe industriel le plus réputé de Beinheim.  
  A droite, le blason du village, évoqué pour la première fois en l’an 745 sous le nom de « Badanandovilla ».
Les quelques pierres dessinées au centre du tableau évoquent la gravière.
Deux lames de scie symbolisent l’entreprise de fabrication de lames de scie en diamant installée dans le village. La plus petite lame se dissout dans les vagues, desquelles jaillissent des cercles et des ovales représentant l’entreprise de traitement de comprimés.
A droite, au centre, les coquelicots et les bleuets évoquent la nature que j’ai trouvée à Beinheim.
En bas à droite, le centre d’une spirale dont les cercles parcourent tout le tableau.
 Ils représentent, tout comme les lames de scie, le temps qui passe et sa progression infinie.
 Le nom de Beinheim est écrit en gros caractères inachevés.
En effet, Beinheim signifie pour moi Présent et Futur,  et non Passé,
 il s’agit donc bien d’une Histoire en devenir.
 
Annexe
Le fait de ne pas avoir obtenu l’autorisation d’exposer cette toile à la Mairie de Beinheim (sans intention de la vendre), m’a rendue quelque peu songeuse !
 
Susanne Schneider
 

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Gedanken der Künstlers / Réflexions de l’artiste

Textfeld: Seit über 20 Jahren lebe und arbeite ich in Beinheim. In dieser Zeit ist mir das sympathische, ruhige Elsässer Dorf zu meiner neuen Heimat geworden.
Auf diesem 100 x 150 cm großen Acryl-Gemälde, das ich im Jahre 2009 auf der 
Open-Air-Veranstaltung „Rendez-vous des Artistes“ in Roppenheim begonnen habe, versuchte ich alles, was ich mit Beinheim verbinde, darzustellen
Im Zentrum ist die Beinheimer Brücke über dem Rhein zu erkennen. Im Krieg zerstört, danach aufgebaut, führt sie heute wieder nach Deutschland, meiner alten Heimat.
Oberhalb die wohl bekannteste Industrieanlage Beinheims.
Rechts daneben das Stadt-Wappen mit dem im Jahre 745 n. Chr. erstmalig erwähnten Stadtnamen „Badanandovilla“.
Einige im Mittelteil gezeichnete Steine stehen für den Kiesabbau. 
2 Sägeblätter symbolisieren die ansässige Herstellungsfirma für Diamant­sägeblätter.
Das kleinere Sägeblatt löst sich in Wasserwellen auf, aus denen Kreise und Ovale 
springen, die für die weiterverarbeitende Tablettenindustrie stehen.
Im rechten Mittelteil befinden sich Mohnblumen und Kornblumen 
– Zeichen für die Natur, die ich in Beinheim gefunden habe.
Unten rechts das Zentrum einer Spirale, deren Kreise sich durch das ganze Bild ziehen. 
Sie stehen – wie auch die Sägeblätter – für die Zeit und das immer „Weitergehen“.
Der Schriftzug Beinheim ist mit großen, unsauberen, unfertigen Buchstaben geschrieben.
Beinheim ist für mich Gegenwart + Zukunft,   nicht Vergangenheit + Geschichte 
– also noch nicht fertig-.
 
 
Nachtrag
Dass ich dieses Gemälde (ohne Verkaufsabsicht) nicht im Beinheimer Rathaus 
ausstellen durfte, hat mich doch etwas nachdenklich gemacht!
  
Susanne Schneider